La présence turque en Afrique, développée depuis 20 ans a continué malgré les soubresauts de la politique étrangère d’Ankara dans les autres domaines. Le “soft power” turc, si absent dans d’autres territoires s’exprime en Afrique à travers les entreprises et les écoles turques.
Ces dernières sont pour la plupart passées sous le contrôle d’Ankara suite à la lutte fratricide entre les gulenistes et Erdogan. Joséphine Dedet, romancière et journaliste à Jeune Afrique a répondu aux questions de Jalal Haddad.